Pourquoi tu n’arrives pas à trier chez toi ? Les 11 blocages qui t’empêchent de passer à l’action
- hobysandra
- 25 mai
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 2 jours
Tu ouvres un placard, tu soupires, tu te dis « Allez, faut vraiment que je fasse du tri… »Et puis tu refermes aussi sec.
Hop, ni vu ni connu. Ça te parle ? 😅
Si tu repousses encore et toujours le fameux grand tri de ta vie, je te rassure, ce n’est pas juste parce que t’as pas le temps (même si, tu as surement un agenda surchargé je te crois).
En réalité, c’est souvent un peu plus profond que ça…
Dans mon métier de home organiser, je rencontre plein de femmes ultra actives, au taquet pour tout le monde… sauf pour leur chez-elles. Elles courent partout, gèrent mille trucs, et rêvent d’un intérieur plus zen. Mais au moment de passer à l’action ? Blocage.
Si toi aussi tu te reconnais là-dedans, déjà : tu n’es PAS seule. Et surtout : tu n’as pas à culpabiliser.
Il existe plein de raisons (valables !) qui freinent l’envie de trier, de désencombrer, de s’y mettre pour de bon. J’en ai identifié 10, que je croise tout le temps.
Les connaître, c’est déjà un super premier pas pour reprendre le pouvoir sur ta maison ✨
Je te les partage ici, avec toute ma bienveillance et zéro jugement. On y va ensemble ? Hâte que tu me dises si tu te reconnais dans l'une ou plusieurs ...

1. Le blocage émotionnel : quand chaque objet te ramène à un souvenir
Tu gardes cette vieille veste démodée parce que tu l’as portée à ton premier job ? Ou cette tasse ébréchée offerte par ta grand-mère, même si tu ne t’en sers jamais ? C’est normal : nos objets sont chargés d’émotions.
Le tri devient alors un mini-deuil. Il ne s’agit pas seulement de jeter une chose, mais de dire au revoir à ce qu’elle représente. Pour avancer, il faut réussir à dissocier l’objet du souvenir. Spoiler : le souvenir, lui, ne partira pas !
Astuce : tu peux te faire une boite souvenir de taille raisonnable mais où tes objets souvenirs seront rassemblés au même endroit.

2. Le blocage identitaire : "je suis ou j’ai été cette personne"
Tu gardes toutes tes affaires de randonnée alors que tu n’as pas mis les pieds en montagne depuis 5 ans ? Tu conserves tes livres de droit alors que tu as changé de métier depuis belle lurette ?
Bienvenue dans le blocage identitaire !
On garde des objets qui incarnent une version passée (ou fantasmée) de nous-même. Ils nous rassurent, ils nous définissent. Mais parfois, ils nous empêchent d’évoluer.
Et il y a aussi l’inverse : certaines personnes ne reconnaissent plus leur maison, parce qu’elle ne leur ressemble plus. Déco d’un autre temps, objets d’une ancienne vie… Elles s’en détachent complètement, au point de ne plus avoir envie d’y mettre de l’ordre. Résultat ? Elles désertent leur espace au lieu de le transformer.

3. La fameuse culpabilité (celle qui squatte comme une vieille coloc)
Tu vois ce vase un peu kitsch que t’as reçu à Noël y’a trois ans ? Celui qui te juge à chaque fois que tu passes devant ? Oui, celui-là, offert par Tata Josette. Il ne te plaît pas vraiment (bon soyons honnêtes, il est moche), mais tu le gardes parce que… "on ne jette pas un cadeau".
Ou ce robot multifonction hors de prix que tu as acheté en te jurant que tu allais te lancer dans la pâtisserie comme Mercotte ?
Résultat : il dort sur ton plan de travail en plus tu dois le dépoussiérer, et toi tu fais toujours des gâteaux au yaourt. Mais impossible de t’en séparer, parce que tu culpabilises d’avoir mis autant d’argent dedans.
👉 La culpabilité, c’est cette petite voix relou dans ta tête qui te dit :
"Mais enfin, ça a coûté une blinde !"
"C’est maman qui me l’a donné…"
"Peut-être qu’un jour ça servira ?"
Mais en vrai ? Ces objets, tu ne les utilises pas, tu ne les aimes pas, et ils prennent juste de la place et de l’énergie mentale.
💥 Spoiler : dire bye-bye à un objet, ce n’est pas dire bye-bye à la personne qui te l’a offert. Ni jeter ton argent à la poubelle. C’est juste décider de ne pas laisser un truc inutile squatter ton espace et ta tête. (en plus l'argent a déjà disparu)
Tu veux de la légèreté chez toi ? Commence par dégager la culpabilité. Elle, elle n’a vraiment pas été invitée.
4. Le manque de confiance : "je ne sais pas faire"
Tu sais ce moment où tu décides ENFIN de t’y mettre, motivée comme jamais ?Tu ouvres un tiroir, tu vides tout… et là, c’est le drame :des chaussettes célibataires, un manuel de micro-ondes de 2007, des trucs chelous non identifiés… Tu essaies de trier, mais tu finis avec un tas encore plus gros qu’au départ. Et un gros coup de mou en prime.
👉 Résultat : tu te sens nulle, dépassée, pas légitime. Tu te dis :
"Je ne sais pas comment faire."
"Je prends de mauvaises décisions."
"C’est pas fait pour moi, ce genre de truc…"
Mais laisse-moi te dire un truc hyper important :Ce n’est pas toi le problème. C’est juste qu’on ne t’a jamais appris.
💡 Et devine quoi ? Moi non plus, on ne m’a pas appris. J’ai longtemps été la reine du tas "à trier un jour", la pro des tiroirs fourre-tout, la spécialiste du "je pose là et je verrai plus tard".
Je suis une ancienne bordélique repentie.
Vraiment. Et aujourd’hui, j’en ai fait mon métier ! (tu veux en savoir plus ? Viens faire un tour par ici 💁♀️)
Ce que j’ai compris ?
👉 L’organisation, le tri, le désencombrement, ça s’apprend.
Avec les bons outils, les bonnes questions (et parfois une bonne playlist motivante 🎶), tu peux totalement y arriver. Et si t’as besoin d’un petit coup de pouce, je suis là ✌️Envoie moi un message !
5.La peur du manque (aka "on ne sait jamais")
Ah, le fameux "au cas où"...
C’est un classique chez presque toutes les personnes que j’accompagne (et franchement, je l'ai dégainé moi aussi 🙋♀️).
Tu vois ce genre de trucs :
– Les câbles d’appareils disparus depuis 2012 ?
– Les cartons vides “au cas où tu dois envoyer un colis urgent à la NASA” ?
– Les 3 services à fondue (alors que t’en fais… une tous les 5 ans, et encore) ?
👉 Ces objets-là, tu les gardes parce qu’ils te rassurent. Ils donnent l’impression que tu seras prête à tout, comme une sorte de trousse de secours pour la maison.
Mais en vrai ?Ce réflexe cache une peur (inconsciente) du manque.
Tu veux te sentir en sécurité, parée à toute éventualité… sauf que ces “au cas où” finissent surtout par t’enfermer dans une logique d’accumulation.
Et pendant ce temps-là, ton intérieur déborde… et ta tête aussi 😵
💡 La bonne question à te poser, c’est celle-ci :
"Si j’en avais vraiment besoin un jour, est-ce que je pourrais le retrouver facilement ? Ou le racheter sans trop de galère ?"
Dans 90 % des cas, la réponse est : oui. Et tu sais quoi ? Ça fait un bien fou de s’en rendre compte. Alors vas-y, libère-toi de cette peur du "pas assez". Parce qu’en vrai, tu es déjà assez. Et tu as déjà assez 🙌
Le manque d’énergie… quand le corps ou la tête ne suivent plus
Tu sais que ça te ferait du bien de trier… mais tu n’as ni la force, ni l’envie, ni la tête à ça.
Ton corps est fatigué, ton moral est en berne, et même ouvrir un placard te semble insurmontable ...
Quand on traverse une période difficile : burn-out, dépression, maladie, handicap, traitement lourd, deuil… , l’énergie devient une ressource ultra précieuse.
Et bien sûr que le tri passe tout en bas de la liste des priorités.
Et tu sais quoi ? C’est OK.
On oublie souvent que désencombrer, ce n’est pas juste "jeter des trucs". C’est aussi :
prendre des décisions (et c’est épuisant quand on a le cerveau en mode brouillard),
bouger, manipuler, soulever (pas simple quand le corps dit non),
gérer une tempête d’émotions (et on n’a pas toujours la force de l’affronter).
🧩 Alors s’il te plaît, ne culpabilise pas. Tu fais comme tu peux, avec ce que tu vis aujourd’hui.
Et quand tu sentiras que c’est un peu plus calme, un peu plus possible, alors tu pourras commencer tout doux : un objet, une catégorie, un petit coin.
Même 5 minutes, c’est un premier pas. Et chaque petit pas compte, vraiment.

7. Le perfectionnisme… ou l’art de ne jamais s’y mettre
Tu t’es déjà dit :
Si je commence, faut que je fasse toute la maison d’un coup.
Tant que je ne sais pas comment tout ranger parfaitement, autant ne rien faire…
👉 Bingo, tu viens de mettre les deux pieds dans le piège du perfectionnisme.
Ce blocage-là, il est super courant (et super sournois aussi). Il te fait croire que si ce n’est pas fait nickel, dans le bon ordre, avec les bonnes boîtes et la bonne playlist… alors ça ne sert à rien. Résultat ? Tu ne fais rien du tout. Et ta maison reste en bazar, alors que tu as une furieuse envie d’y voir plus clair.
Je vais te dire un secret de home organiser :mieux vaut un petit tri imparfait, qu’un grand projet parfait qui ne commence jamais.
Tu n’as pas besoin de "faire tout bien" pour avancer. Tu as juste besoin de commencer. Même mal. Même dans le désordre. Même sans avoir la méthode parfaite. Ce qui compte, c’est le mouvement, pas la performance.
Allez, respire un bon coup, choisis un coin, et fais-le "assez bien". Promis, ce sera déjà mille fois mieux que rien 💛

8. Le manque de méthode… ou le tri freestyle qui finit en chaos
Tu te motives à fond, tu ouvres tous les placards d’un coup, tu vides les tiroirs, tu mets tout au milieu du salon…Et là : le grand blanc. Tu ne sais plus par où commencer. Tu passes ton temps à déplacer des trucs sans vraiment savoir où les mettre, tu te sens dépassée, et t’as juste envie de tout balancer par la fenêtre ...
👉 Pas de panique, c’est pas toi le problème, c’est le manque de méthode.
Faire du tri sans savoir comment s’y prendre, c’est un peu comme monter un meuble IKEA sans la notice. Tu vas finir par y arriver… mais au prix de quelques crises existentielles et de beaucoup (beaucoup) d’énergie perdue.
🌪️ En fait, sans étapes claires, le tri devient un gros tourbillon : tu t’épuises, tu doutes, tu perds le fil… et parfois, tu laisses tout en plan. Bonjour la culpabilité et le chaos general.
Mais bonne nouvelle : ça s’apprend. Et tu n’as pas à le faire toute seule. Il existe des méthodes toutes simples, des étapes qui s’enchaînent, des astuces pour ne pas t’éparpiller… et (tu me vois venir ?) c’est exactement ce que je partage dans mes accompagnements ou mes formations. J'ai sorti il y a peu une formation : reprends le controle sur ta maison , apprivoise ta cuisine, une autre sur le dressing est en cours et aussi les papiers (une vrai denrée les papiers!!) Je propose des vidéos (96 vidéos courtes pour la cuisine + un workbook), c'est une méthode pas à pas qui te guide pour faire le tri et pour ranger ensuite avec méthode !!
voila le ien pour t'inscrire sur la liste d'attente en attendant la sortie du prochain programme c'est ici
🧭 En gros, avec une boussole, c’est beaucoup plus facile de traverser la jungle. Même si la jungle, c’est ton dressing.
9. L’encombrement mental – quand ta tête est déjà plus pleine que ton bac à linge
Tu vois ce moment où tu penses en même temps à :
la liste de courses
le mail à envoyer avant midi
le dentiste de Choupinette
le linge à étendre (qui sent déjà un peu l’humidité 😬)
le cadeau à acheter pour belle-maman…
Et là, l’idée de trier le placard du couloir ?Autant te dire que ton cerveau fait un burn-out rien qu’à l’évocation.
💥 Tu es en mode trop d’onglets ouverts. Et spoiler : t’as pas besoin d’une nouvelle tâche, mais d’une pause.
👉 Parce que oui, faire du tri, ça demande de l’espace… dans ta tête aussi. Et quand ta charge mentale explose, t’as plus la dispo émotionnelle ni l’énergie pour décider si ce câble est à une enceinte Bluetooth ou à ton ancien grille-pain.
🎯 La solution ? Ce n’est pas de « prendre sur toi » ou de « faire un effort ». Non. La vraie solution, c’est :
te bloquer un petit créneau rien que pour ça (10 minutes, c’est déjà bien)
créer un environnement calme (musique chill, thé chaud, enfants occupés 👀)
ou carrément te faire accompagner pour ne pas porter tout ça toute seule (coucou, c’est moi 🙋♀️ mes presta sont par ici )
10. L’attachement relationnel – quand ton cœur est accroché à tes placards
Tu ouvres une boîte et BAM, les chaussons de ton bébé devenu ado te filent un petit coup au cœur.
Ou ce pull moche (mais doux) de ton ex est encore là, planqué au fond de l’armoire.
Ou ces objets de ta maman partie trop tôt, que tu n’oses même pas regarder, mais que tu n’arrives pas à donner…
💔 Parce que oui, ces objets-là, ils ne sont pas que des objets. Ils sont remplis de souvenirs, de larmes, d’amour. Et tu les gardes, par peur d’oublier. Par peur de "trahir". Parce qu’ils te raccrochent à des moments ou des personnes que tu veux garder près de toi.
Mais laisse-moi te dire un truc important (et promis, je te le dis avec tout mon cœur) :Tu n’as pas besoin de tout garder pour ne pas oublier.
🌸 Garde quelques objets choisis, qui te font du bien quand tu les vois. Une photo, un carnet, un petit vêtement symbolique. Et autorise-toi à dire au revoir au reste, si ça t’encombre plus que ça te nourrit.
Tu ne trahis personne. Tu fais de la place pour ton présent. Et ça, c’est aussi une forme d’amour. Pour toi.
Et si ce tri-là te semble trop difficile à faire seule, je suis là. On peut en parler, l’envisager ensemble. Avec douceur, respect, et zéro pression. Parce que j’ai vu trop de femmes porter ça seules.
👉 Envie de savoir qui je suis et pourquoi je parle de ça avec autant de cœur ? Lis ma bio ici (spoiler : je suis une ancienne bordélique pleine de compassion pour ton joyeux bazar).
Petit décryptage entre blocage émotionnel vs relationnel, c’est quoi la différence ?
Tu trouves que le blocage émotionnel et le blocage relationnel, c’est un peu du pareil au même ? C’est normal, ils sont cousins très proches ! Mais il y a une subtile nuance (et elle change tout) 👇
👉 Le blocage émotionnel, c’est ton histoire à toi, ton vécu perso. Un objet qui te rappelle ton déménagement à l’autre bout du monde, ton premier amour, ton ancien job... Bref, un objet qui parle de toi, avec toi.
👉 Le blocage relationnel, lui, c’est ton lien aux autres qui s’y accroche. Un cadeau que tu n’aimes pas mais que tu n’oses pas donner, les affaires d’un proche disparu, le livre de cuisine de ta grand-mère… Tu gardes par loyauté, par amour, ou par peur d’oublier quelqu’un.
💡 En gros :– L’un parle de tes souvenirs à toi– L’autre parle de ton attachement à quelqu’un
Et devine quoi ? Les deux sont ultra légitimes. Mais aucun ne mérite de t’étouffer. Tu as le droit de faire de la place, sans culpabilité, sans trahir personne — juste en choisissant ce qui te fait du bien aujourd’hui ❤️
11. Le blocage pathologique : quand l’accumulation devient une vraie souffrance
Parfois, les difficultés à trier ou à se séparer d’objets vont au-delà du blocage ponctuel ou émotionnel. Il arrive que l’on soit face à des troubles compulsifs ou pathologiques, comme dans le cas de l’accumulation extrême, du syndrome de Diogène, ou de certaines formes de collectionnite obsessionnelle.
Ici, il ne s’agit pas simplement de « garder au cas où » ou d’un attachement affectif : le lien aux objets est tellement fort ou désorganisé qu’il empêche toute forme de tri ou de désencombrement, et peut engendrer de vraies souffrances, de l’isolement, voire des risques pour la santé ou la sécurité. C’est une réalité à prendre au sérieux, qui nécessite souvent un accompagnement spécifique, en lien avec des professionnels de santé.
🧠 Si tu veux mieux comprendre ce type de blocage, j’en parle plus en détail dans cet article :👉 Quand accumuler devient pathologique – comment repérer et accompagner
✨ En résumé : tu n’es pas seule à bloquer !
Culpabilité, peur du manque, perfectionnisme, attachement affectif, fatigue, surcharge mentale, manque de méthode ou de confiance… Tous ces blocages sont humains, fréquents, et légitimes. Ils racontent quelque chose de toi, de ton histoire, de ton quotidien. Et parfois, ils s’entremêlent, se nourrissent les uns les autres, jusqu’à te faire croire que tu n’y arriveras jamais.
Mais la bonne nouvelle, c’est que rien n’est figé. Chaque petit pas compte. Chaque prise de conscience est déjà une victoire. Tu n’as pas besoin d’être parfaite, rapide ou ultra motivée. Tu as juste besoin de commencer… et de savoir que tu peux être accompagnée.
Et tu sais quoi ? Je suis passée par là moi aussi. Ancienne bordélique convertie (avec fierté !) en home organiser, je sais à quel point c’est dur de se lancer seule. C’est pour ça que j’ai à cœur de t’aider à avancer, sans pression, sans jugement, et avec beaucoup d’humour (et de café ☕).
👉 Si tu veux qu’on avance ensemble, viens découvrir mes accompagnements (ou ma bio pour en savoir plus sur mon parcours).
Tu n’as pas à porter tout ça toute seule. 💛

Sandra Fradin home organiser by Sandra
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coach en rangement préférée des lyonnais avis google 5 étoiles
Je me déplace dans le Rhône Alpes et même ailleurs.
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je te souhaite une vie remplie (mais pas d'objets!)
À très vite,
Sandra
merci pour cet article très intéressant, je me retrouve dans plusieurs profils, c'est grave docteur? 😅